Louis GAILLARD

Tristesse. Beaucoup Je viens seulement d'apprendre le décès de Louis, et l'émotion est forte. La toute dernière fois que je l'ai vu, il était, comme en d'autres occasions, assis sur un banc public, dans le centre d'Avranches. C'était le 11 novembre ; c'est-à-dire 2 jours avant son décès. Nous avions discuté un moment, comme en d'autres occasions. Et je n'ai rien remarqué alors qui pouvait me laisser présager cette fin brutal, si imminente, si imminente. Saisi d'un mauvais pressentiment, car plus rien au téléphone, c'est en consultant la nécrologie que, le 24 novembre seulement, j'ai appris la bien triste nouvelle. Il fut notre voisin, ici à Avranches, au début de notre arrivée dans cette ville, au mois de mai 1998, et nous l'avions invité quelques fois à la maison. Puis il avait changé d'habitation, et nous étions restés longtemps sans nous donner signe de vie. Et ce n'est qu'assez récemment que nous nous étions à nouveau revus, alors qu'on bagnaudait dans la ville ; j'avais alors appris à mieux le connaître, assis un moment sur un banc public, ou en d'autres endroits. J'avais appris à mieux le connaître : cela en valait la peine, car, chez ce personnage d'un abord un peu bourru et " râleur " (ce qui m'amusait passablement), se montrait, dans l'arrière-cours de sa personnalité, sous cet abord, une âme d'une grande sensibilité, loyal, honnête, franc. Et bien sûr, il y avait en supplément, et ce n'était pas rien, un talentueux artiste peintre, dont j'avais pu apprécier les créations. De toute façon il gagnait à être connu. Voilà. Loïc, je pense à toi, et ton papa te manque, bien évidemment. Vous aviez souvent des chamailleries, mais je savais que, malgré (ou grâce à 😉) ça, tu aimais beaucoup ton papa. Donc voilà, en fait, je ne sais pas trop quoi dire, j'ai mal dormi cette nuit, et je sais pourquoi. Loïc, tu es le bienvenu à la maison, tu passes quand tu veux, si cela te dit. En toute amitié Patrice

Sincères condoléances de la part de son frère courage a son fils Loïc

Chère famille, cher Loïc,

Je vous présente mes plus sincères excuses pour ne pouvoir être présent dans cette épreuve douloureuse.
Mon épouse Marion et ma fille Lyvia se joignent à moi et expriment leurs sincères condoléances.
Mon cher tonton Louis, je te souhaite de reposer en paix avec papi Louis, mamie Alice et ton frère...mon père Gaël.

Je t'aime...je vous embrasse.

Louis-Philippe